Je voudrais reproduire ici quasi intégralement un article de Marc Lambron, publié dans un magazine au format du 1 que j’ai déniché ce matin à la Presse, pour m’apercevoir à l’instant qu’il date de l’automne 2015, soit il y a mille ans, mais qui fait écho à une remarque qui m’a touchée (blessée, en fait ; j’étais alors jeune et sensible 😢😱😠😡😡) il y a plus de 20 ans, alors que je m’attardais quelque peu sur les bancs de la fac.
Je n’avais hélas pas la répartie d’un Marc Lambron.
Il y a parfois des réponses qui prennent leur temps…
« Permettez, Marc, que j’emprunte votre répartie quelques minutes ? »
On va dire qu’il est d’accord…
Et alors là, voilà ce que je réponds à cette remarque de daube !!! :
« Chère Madame, le monde est plus vaste qu’une cote boursière. »
Et v´lan (comme dit souvent quelqu’un que j’adore), ça, c’est envoyé !!
Merci Marc. Vous êtes un vrai pote.