3 septembre 2015

La Grande Librairie avec Amélie Nothomb :
« Assassiner un de ses invités, est ce que ce n’est pas le fantasme absolu ? ».
Tout de suite, là, comme ça, je dois vous avouer Amélie Nothomb, que je ne partage pas tellement votre point de vue.
Par contre, lorsque Busnel vous interpelle sur la longueur de votre roman, 130 pages, et que vous lui répondez qu’il y a « une telle tension que ça ne peut pas durer davantage », alors là, j’acquiesce. J’ai pensé, tout au long de ma lecture, que si vous aviez enlevé, je n’sais pas…, peut-être une centaine de pages, ça aurait été parfait.
Voilà (comme dirait Astrid Manfredi), nous sommes d’accord, Amélie. Sur ce point et sur votre passion pour le Champagne.

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