22 août 2015

Au café.
À côté, une scène d’une tristesse infinie.
« Si j’attends qu’i crève, j’vais crever avant. Aah j’veux plus d’ça moi. Si j’attends qu’i crève, j’vais crever avant. »

Si elle avait lu Kenzaburô Ôe, cette femme, elle saurait que « la littérature guérit du désespoir ».

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