18 Mai 2017

Je termine à l’instant le dernier Vargas Llosa.

Ce n’est pas une histoire d’araignée recluse et l’auteur n’est pas le frère aîné de Fred Vargas.

Ce roman n’est pas même un polar à héros récurrent dans une ville du Pérou. Non. Rien de cela.

Mais ce Vargas-là, ce Mario Vargas Llosa-là, pour être exacte, défraie quand même la chronique depuis quelque temps (Même s’il n’arrête pas le regard de notre ami Busnel (Aaaaaaaah, on avait dit « plus Busnel !!!, On arrête de dire du mal de Busnel !!!) Désolée…).

Et pour quelle raison ?

Parce que, je vous l’donne en mille, il vit le parfait amour avec la première femme de Julio Iglesias !!!

Elle a 15 ans de moins que lui et elle en paraît 25, il venait de fêter ses 50 ans de mariage avec la Tante Julia, celle-là même qui avait fait de lui le Prix Nobel de Littérature…) et voilà qu’on les surprend, total in love, dans un bar à tapas de Madrid.

Elle, 65 ans et lui, 80.

Incredible.

Tout cela, vous en conviendrez, n’a absolument aucun intérêt.

Ce qui en a, vous en conviendrez aussi, c’est qu’il écrive un nouveau roman absolument exceptionnel. Lequel se tricote en douce en pleine campagne présidentielle à coup de rumeurs et de chantages, de photos compromettantes, de faux témoignages et de journalistes pourris. Tout cela ne serait rien si Vargas Llosa n’avait saupoudré son ouvrage d’une relation torride entre la femme du richissime en mauvaise posture, et sa maîtresse…

Toutes ressemblances avec notre histoire politico/judiciaro/peopolisticio récente, ne sera que purement fortuite, comme il est bon de le rappeler lorsqu’évidemment, l’on y voit plus que du copié-collé…

Quoi ???? 25 ans d’écart entr… Pardon, ça m’a échappé.

Vargas Llosa, je suis fan. Plus que tout.

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